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Multiculturalisme: les habitants de Montauban commencent à le regretter

26 juin 2010

Une rue de Montauban

Après avoir fermé les yeux sur les différents appels des partis de droite nationale mettant en garde contre ce danger qu’est le multiculturalisme (remplaçant de l’idéologie assimilationniste qui intégrait parfaitement tous les immigrés), les habitants de la ville historique de Montauban commençent à le regretter maintenant qu’il est bien installé dans la ville. Ghettoïsation, mode de vie exotique, commerces abandonnés, trafics et marchands de sommeil présumés, voilà le nouveau visage de la France qui se dessine et qui apparaît à Montauban.

Extraits d’un article de La Depêche:

« La ghettoïsation guette », s’inquiètent les riverains du quartier Saint-Jacques. Rues Mary-Laffon, d’Élie, Fourchue… De nouveaux modes de vie s’imposent. Les riverains pétitionnent.

« Le kebab a détrôné le jambon beurre » écrivions-nous dans notre édition du 12 août 2008… Cet été-là, dans le secteur de Saint-Jacques délimité par les rues Mary-Laffon, Princesse, Fourchue, Comédie, d’Élie… le citadin déplorait la mort lente d’un art de vivre « à la montalbanaise » et la montée en puissance de commerces exotiques : kebab, alimentation marocaine, boucherie halal, cafés communautaires… Peu s’en offusquaient ouvertement. Beaucoup confiaient leur sentiment sous couvert d’anonymat, espérant une prise de conscience de la municipalité afin de corriger le tir… si tir il y avait effectivement à corriger. […]

[…]

Deux ans plus tard, les positions ont-elles évolué ? Les plaintes des riverains sont toujours discrètes. La rue Mary-laffon s’est vidée un peu plus de ses commerces. La pharmacie est à la veille de quitter les lieux pour s’installer en ville basse. Dans cette artère que les vieux Montalbanais ont connue comme l’une des plus commerçantes de la ville subsistent aujourd’hui deux coiffeurs, une boulangerie, deux kebabs, un sex-shop, un magasin de jeux vidéo, un call phone, une alimentation exotique, un assureur et une banque… Le désert commercial guette. «Ce n’est plus le quartier qu’on a connu», glisse désolée cette mamie dont on sollicite l’avis. Même autour de la place Nationale, les commerces souffrent. Rideaux baissés, stocks à liquider… Comme «Aux Écuelles» qui va prochainement céder la place à un Coffee shop.

[…]

Dans cette rue «des marchands de sommeil» comme la nomment les riverains, les immeubles se vendent et se vident avant de se remplir de nouveaux arrivants. Une autre culture apparaît, d’autres modes de vie s’imposent. Existence à ciel ouvert. Aux beaux jours, les échanges, parfois bruyants, éventuellement illicites, se poursuivent tard dans la nuit. Des véhicules s’arrêtent, stationnent plus ou moins longtemps. Dans cette rue étroite reliant la place nationale à la rue de la Comédie, des grappes de jeunes occupent le pavé. De quoi intimider des passants ou des touristes qui la plupart du temps optent pour un détour. Une jeune retraitée, visiblement ouverte et peu susceptible de racisme, l’affirme: «Depuis quelque temps, un virage a été pris ici. Je me suis même fait accostée rue Gillaque». La dame qui n’a plus 20 ans préfère en sourire. Mais d’autres ne rigolent plus. Tous ces riverains ont une histoire de voisinage à raconter : «le noir qui vit au-dessus de chez moi avec ses chiens», «les Roms qui font les grillades dans les escaliers»….

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  1. Hook91 permalink
    29 juin 2010 0 h 02 min

    Quand on sait qu’un immigré par définition restera toujours un immigré, c’est à dire un membre d’une communauté et même ses descendants quelques soit leur génération, je me demande ce que vienne faire les mots « assimilation » et « intégration » puisque ces populations ne pourront jamais faire parti de la population d’origine puisque qu’ils ont d’autres origines ils ne peuvent pas être ce qu’ils ne sont pas, mais avec ceux qui savent rester dans leur plates bandes ont peut avoir des échanges intéressants mais seulement à ces conditions, ces populations à l’origine ne sont pas là pour s’installer mais doivent retourner dans leur pays dès que le patronat n’a plus besoin d’eux, c’est ce qui avait été prévu par le patronat il y a des dixaines d’années, hors aujourd’hui les gauchistes ont choisi de tous nous sacrifier, c’est criminel.

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