Acheter halal, c’est payer la taxe islamique !
Dans l’islam, le mot halal est antonyme de haram. «Halal» définit ce qui est permis pour le musulman et «haram» définit ce qui est un péché et ce qui est sacré, et qui lui est donc interdit. Voilà ce que nous apprend Wikipédia. C’est donc une nourriture religieuse.
Lors de la polémique concernant les Quick 100% halal, polémique qui continue suite à l’annonce de 14 nouvelles conversions de Quick en Quick respectant la Charia, on a souvent entendu du côté des défenseurs de la laïcité que les consommateurs payaient une taxe islamique reversée aux organismes certificateurs, on a également entendu de la part des musulmans que cela était faux.
Et bien Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon en charge du dossier halal au Conseil français du culte musulman (CFCM), a confirmé au Parisien que cette information était vraie, il y a effectivement une part de prix du produit qui est versée aux organismes certificateurs. Taxe islamique qui servira entre autre à construire de nouvelles mosquées, à entretenir celles existantes, à construire des écoles coraniques et autres cruelles joyeusetés d’une religion intolérante, violente et dominatrice.
Extraits d’un article lu sur Le Parisien:
“A Lyon, nous délivrons des cartes de sacrificateurs. Nous avons passé un contrat avec une quinzaine d’entreprises situées en France et même au Royaume-Uni qui acceptent d’être contrôlées par nos 30 contrôleurs. Notre cahier des charges est très contraignant: la certification se fait toujours en présence d’un sacrificateur et d’un contrôleur. L’abattage étant manuel, on ne peut pas faire plus de 2 000 poulets à l’heure. Par kilo de viande, la certification halal coûte entre 10 à 15 centimes d’euros. […]”
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